DHANWAR |
2022
Pas mal de gens sont affaibli après la période de Covid. Pour cette raison chaque village reçoit la visite mensuelle d’un docteur du gouvernement. Pendant ces
réunions les sœurs font aussi la promotion des serviettes hygiéniques. Un grand
pas en avant pour l’hygiène. La première fois des serviettes sont distribuées
gratuitement |
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En plus les sœurs visitent aussi les maisons les plus isolées. Régulièrement
elles trouvent des malades. Parfois il est nécessaire de les transporter au dispensaire. Ce n’est pas évident quand il n’y a pas de routes |
Pendant la visite des médecins, les sœurs apprennent aussi à fabriquer
des médicaments contre la malaria à base de plantes qu’elles trouvent
dans la jungle. Dans les écoles ils sont administrés à tous les enfants |
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En plus les sœurs visitent aussi les maisons les plus isolées. Régulièrement elles trouvent des malades. Parfois il est nécessaire de les transporter au dispensaire. Ce n’est pas évident quand il n’y a pas de routes |
Pendant la
visite des médecins, les sœurs apprennent aussi à fabriquer des médicaments
contre la malaria à base de plantes qu’elles trouvent dans la jungle. Dans les écoles
ils sont administrés à tous les enfants |
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Enfin, APRES DEUX ANS, les écoles sont de nouveaux ouverts. Par des visites intensives de la part des enseignants aux différentes familles, le nombre d’élèves est plus ou moins constant. (Ailleurs dans pas mal de cas -20%) |
Les plus
petits sont contents de retrouver leur terrain de jeux (don d’une femme terminale) |
2021
Enfin ils ont pu creuser le nouvel étang. Au début l’entrepreneur ne pouvait pas non plus entrer dans la région (Covid). L’étang constitue une réserve d’eau pour la saison sèche. L’eau sert à ce moment pour irriguer les potagers. Aussi ils peuvent maintenant élever un peu de poissons. |
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Enfin ils ont pu creuser le nouvel étang. Au début l’entrepreneur ne pouvait pas non plus entrer dans la région (Covid). L’étang constitue une réserve d’eau pour la saison sèche. L’eau sert à ce moment pour irriguer les potagers. Aussi ils peuvent maintenant élever un peu de poissons. |
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Grâce à un
don d’un groupe de soroptimistes de la Hollande ils ont pu installer une machine
pour fabriquer des serviettes hygiéniques à un prix abordable. |
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Grâce à un
don d’un groupe de soroptimistes de la Hollande ils ont pu installer une machine
pour fabriquer des serviettes hygiéniques à un prix abordable. |
Ensemble avec un fabricant de chaussures Indien, nous avons pu distribuer quelques milliers de paires de chaussures aux plus petits.Pour la plus grande part c’était leur première paire de chaussures. |
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Ensemble avec
les docteurs du gouvernement ils ont pu vacciner presque toute la population de
la région |
2020
A cause du Covid il était impossible d’amener les meubles pour le dispensaire. C’est seulement à la fin de 2020 qu’un transport d’une région à une autre était permis. La livraison. |
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L’aménagement | L’aménagement | L’aménagement |
En activité |
En activité |
En activité |
En activité |
En
activité |
En activité |
A cause du Covid, la région a été fermé pour éviter que le Covid entrerait dans la jungle. Les sœurs,
ensemble avec quelques membres du personnel, qui vivent à Dhanwar, ont alors
commencé à fabriquer des masques et de les distribuer. |
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Très vite ils ont pu organiser, dans les villages, des réunions pour mettre au courant la population
et de distribuer aussi des désinfectants |
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Très vite il était nécessaire de distribuer de la nourriture. Après la rentrée de beaucoup de travailleurs ceux-ci n’avaient plus de revenu et
une aide en nourriture était nécessaire. Ces distributions régulières ont
continué jusqu’en 2022 |
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Très vite il était nécessaire de distribuer de la nourriture. Après la rentrée de beaucoup de travailleurs ceux-ci n’avaient plus de revenu et
une aide en nourriture était nécessaire. Ces distributions régulières ont
continué jusqu’en 2022 |
2019
Dhanwar 2019 = 25 ans Dhanwar. Une occasion pour une fête impressionnante.
Aussi l’inauguration du nouveau dispensaire et du nouvel internat pour les garçons
Lors de notre arrivée, même tard le soir, les internes nous accueillaient |
Lors de notre arrivée, même tard le soir, les internes nous accueillaient |
Le jour avant la fête, la tombe du fondateur, le père Maes, était fleurie |
Le jour avant la fête, la tombe du fondateur, le père Maes, était fleurie |
Lors de notre visite nous avons vu des classes bien remplies |
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Faute d’un ballon, les enfants ficellent des déchets de plastiques pour jouer au foot. |
Le jour avant la fête, la tombe du fondateur, le père Maes, était fleurie |
Une deuxième installation
de « Smart cooking » a été installé:
ils ont maintenant besoin de moins de bois et la nourriture a plus de
gout. |
Naturellement nous avons visité l’école ou des femmes illettrées reçoivent une formation. Nous y avons rencontrée l’institutrice, une ancienne élève de Dhanwar, ensemble avec une autre ancienne élève qui suit maintenant des études d’infirmière |
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Naturellement nous avons visité l’école ou des femmes illettrées reçoivent une formation. Nous y avons rencontrée l’institutrice, une ancienne élève de Dhanwar, ensemble avec une autre ancienne élève qui suit maintenant des études d’infirmière |
Encore quelques travaux avant la grande ouverture du lendemain. | Encore quelques travaux avant la grande ouverture du lendemain. |
Quelle
surprise de trouver dans cette école Saint Jean Berchmans,
une effigie de ce saint originaire de Diest |
Le frère
Simon (86 ans) est à Dhanwar depuis le début et ne veut rien manquer, il est toujours présent |
Et alors la grande journée du jubilé. Les scouts locaux dirigent tout en bonne voie. |
Et alors la grande journée du jubilé. Les scouts locaux dirigent tout en bonne voie. |
Les visiteurs sont accueillis et se mettent sous un grand-voile pour se protéger du soleil |
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L’inauguration du nouveau dispensaire |
L’inauguration du nouveau dispensaire |
Les visiteurs sont accueillis et se mettent sous un grand-voile pour se protéger du soleil. |
L’inauguration du nouveau dispensaire |
Et ensuite l’inauguration du nouvel internat pour les garçons. C’est Geert Maes, neveu du fondateur, qui a coupé le ruban. Il y a une grande salle d’étude. |
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Et ensuite l’inauguration du nouvel internat pour les garçons. |
La sœur Joceline avec quelques assistantes qui contrôlent la santé dans les villages. Pour l’occasion vêtues spécialement pour la fête. |
Plus de 2000 personnes ont suivies le programme culturel. |
Plus de 2000 personnes ont suivies le programme culturel. | Plus de 2000 personnes ont suivies le programme culturel. | |
Plus de 2000 personnes ont suivies le programme culturel. | Plus de 2000 personnes ont suivies le programme culturel. |
Parmi les hôtes il y avait quelques anciens, qui ont consacré une grande partie de leur vie à Dhanwar: les pères Placidus et Emile |
Lors de notre départ, le lendemain très tôt, des centaines d’enfants nous disaient adieu. |
Lors de notre départ, le lendemain très tôt, des centaines d’enfants nous disaient adieu. |
Pendant cette période de 25 ans 23323 enfants ont eu la possibilité de se rendre à, cette école. |
Parmi les hôtes il y avait quelques anciens, qui ont consacré une grande partie de leur vie à Dhanwar: les pères Placidus et Emile |
Comme toujours, lors des fêtes, les hôtes reçoivent un repas pour clôturer la fête (dans cette région très pauvre, une bonne raison pour venir) |
2018
A Dhanwar il était nécessaire de rénover les toilettes pour les 300 filles
internes. Cela a été réalisé et en plus elles auront maintenant 6 douches à leur
disposition. Au-dessus des toilettes il y a maintenant un abri pour sécher leurs
vêtements lavés en période de pluie. Les fosses septiques ont aussi été rénovés
Un nouveau
puits d’eau a été foré puisque qu’on risquait une pénurie d’eau pendant la
saison sèche, surtout que le nombre d’élèves ne cesse d’augmenter.
Pendant notre visite il y a avait de nouveau une journée pour les mères et leurs enfants, la distribution d’aliments riche en vitamines, la possibilité d’une visite au médecin, les groupes d’entraide. Le soir nous avons pu remettre une machine à coudre à quelques élèves qui avaient fini leurs formation. Quelques jours après notre visite un nouveau groupe de femmes commençait les études de couture, cette fois sous l’ égide d’ une instructrice de la région qui a fait ses propres études à cette école. Ils ont maintenant l’espoir que cette femme restera en fonction plus long temps, parce que sa famille vit dans les environs, et rester n’est pas évident dans cette région vraiment très isolée. Quelque jours plus tard nous avons reçu des photos de la sœur qui contrôlait la santé des habitants des villages situés plus loin.
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Les toilettes
délabrées et les toilettes rénovées, la galerie pour sécher les vêtements
lavés 3 des 6 douches et les nouvelles fosses septiques. |
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Les toilettes délabrées et les toilettes rénovées, la galerie pour sécher les vêtements
lavés 3 des 6
douches et les nouvelles fosses septiques. |
La mise en
marche du nouveau puits d’eau |
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La mise en marche du nouveau puits d’eau |
L’instruction par le docteur et les assistants de la sœur.
Après la
distribution d’aliments |
L’instruction par le docteur et les assistants de la sœur.
Après la
distribution d’aliments |
L’instruction par le docteur et les assistants de la sœur. Après la distribution d’aliments |
En attendant son tour
pour la visite au médecin |
Un des groupe
d’entraide des femmes |
Le nouveau
groupe de femmes pour les cours de couture et le soir elles apprennent à
lire et écrire |
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Joceline et
ses assistant(e)s contrôlent la santé des villageois, certainement
maintenant que l’hiver arrive |
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ç
Joceline et ses assistant(e)s contrôlent la santé des villageois,
certainement maintenant que l’hiver arrive |
2017
A côté des efforts de la sœur Jocelyne pour l’émancipation des femmes, pour les soins de santé et l’éducation pour la santé dans cette région très isolée, nous avons installé une classe informatique. Cette classe a reçu le nom de l’épouse d’un sponsor. Elle est décédée cette année malheureusement beaucoup trop jeune. A la fin de sa vie elle a pu suivre, à distance, l’inauguration de cette classe. Les responsables locaux ont, malgré la période des vacances scolaires, réussi à installer et démarrer cette classe en quelques jours pour que Judith pourrait encore vivre cette événement .
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les 2 instructeurs de la classe informatique |
le chef de
village met en marche le premier ordinateur |
la première leçon |
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à côté du tissage…. |
les femmes apprennent aussi à crocheter |
le jour de
notre visite était la journée nationale de l’enfant : tous les enfants
étaient réunies |
Après
cette fête il y a avait la réunion des jeunes mamans et des vieilles
personnes. Voici les responsables de chaque village qui surveillent la santé
dans leur communauté. |
pour convaincre
les gens de venir il leur donnent, après la réunion, un repas. |
pour convaincre les gens de venir il leur donnent,
après la réunion, un repas. |
il y a beaucoup de jeunes mamans qui viennent | 11 pour l’internat des filles (voici le dortoir) nous avons une demande… |
pour construire
un abri ainsi elles ne doivent plus manger dans leurs classes pendant la
période des pluies… |
et
d’assainir les toilettes pour les quelques centaines de filles |
les
réalisations à Dhanwar : il y a 20 ans il n’y avait rien maintenant: écoles,
internats, dispensaire, home pour le personnel, ateliers, terrains de sports
terrain de jeux…. |
2016
Lors de notre visite il y avait le séminaire mensuel pour les jeunes mamans. 110
mamans, avec ou sans leur bébé, étaient présentes, certaines après une marche de
plus de 2 heures, pour suivre une explication sur certaines maladies et sur
l’hygiène. Ceux qui en avaient besoin pouvaient s’inscrire pour une consultation
de médecin. Plus de 50 mamans se sont inscrites. Le dispensaire de la sœur est
le seul dispensaire privé reconnu par le gouvernement. Dans chaque village la
sœur cherche une responsable qui suit l’état de santé de tous les habitants et
en cas de problèmes prend contact avec la sœur. Naturellement ces femmes
reçoivent une formation. Des résultats? Encore il y a quelques années la
première cause de décès était la malaria. Par ses médicaments, à base de plantes
et en apprenant à prendre des précautions, cette année il n’y a aucun décès à
cause de la malaria. La maladie existe encore mais avec les traitements qu’elle
donne la fièvre est beaucoup moins forte. Maintenant la première cause de décès
sont les morsures de serpents. Autre résultat : cette année aucune maman est
décédée lors de l’accouchement.. Les dimanches pour les jeunes mamans, aident à
dépister les grossesses qui pourraient donner des problèmes lors de la
naissance. Quand la naissance approche ces femmes viennent au dispensaire ou
dans des cas plus compliquéselles sont transportées à l’hôpital, qui se trouve à
100 km. La mortalité parmi les jeunes enfants a fortement diminué par une
hygiène améliorée. Dans tous les villages elle apprend les villageois à faire
des médicaments à base de plantes trouvées dans la forêt.
Maintenant sœur Jocelyne a commencé avec un atelier de tissage. Toutes ces
initiatives pourront peut être convaincre les membres des tribus, qui vivent
toujours dans la précarité dans la forêt, de s’intégrer aux membres de la tribu
qui vivent dans les villages. actuellement ils vivent encore dans des huttes
dans la forêt et mangent des racines et des feuilles quand ils en trouvent. Ces
personnes ne sont registrées nulle part ce qui rend leur intégration difficile
car officiellement elles n’existent pas.
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une réunion pour les mamans et leurs enfants |
les responsables des villages |
également des personnes âgées qui vivent seules sont invitées |
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l’inscription pour la visite au docteur |
en attendant
son tour |
en attendant son tour |
vêtements faits par les élèves | la nouvelle activité: le tissage | la nouvelle activité: le tissage |
la nouvelle activité: le tissage | on apprend à faire des médicaments à base de plantes | les internes avaient lavés leurs vêtements |
les pauvres biens de toute une famille | c’est clair qu’on doit encore apprendre l’hygiène: les bêtes et les hommes vivent parfois encore sous le même toit et les grains sont moulus à côté des chèvres | |
ç ceux qui vivent dans la forêt vivent encore de feuilles et racines. Ceux qui vivent maintenant dans le village vont parfois encore chercher des racines |
2015
Dhanwar donne ses
services à 35 villages qui, parfois, se trouvent à bonne distance. Pour la
visite à un de ces villages nous avons fait une heure en jeep et ensuite une
bonne promenade parce qu’il n’y a pas de chemin carrossable jusqu’au village.
Dans 25 villages elle a formé des groupes d’auto-assistance. Ces groupes se
réunissent chaque semaine. Au programme: l’épargne : ceux qui le peuvent
épargnent chaque semaine des petits montants. En cas de détresse ou de nouveaux
projets elles peuvent avoir un prêt à des conditions très intéressantes. Elles
reçoivent une formation pour faire des médicaments à base de plantes. Entre
temps elles chantent une chanson qui explique tout sur la malaria (à comparer
avec la chanson de Franco au Zaire qui informait de cette façon la population
sur le Sida en 1987 déjà). Dans une autre chanson (c’est leur chanson de
bataille) elle convainc les femmes que c’est elles qui réalisent le changement
parce que c’est elles qui prennent soins de l’hygiène, que c’est elles qui
prennent soin pour varier la nourriture, que c’est elles qui envoient les
enfants à l’école, que c’est elles qui prennent soin de la santé des enfants,
elle essaie de convaincre en même temps les mères et les filles qu’elles doivent
attendre l’âge de 18 ans pour se marier (à fin d’éviter qu’elles aient des
enfants en étant elles même encore enfants et qu’elles restent plus longtemps à
l’école)….
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une
réunion d’un groupe d’auto assistance |
une réunion d’un groupe d’auto
assistance |
une réunion d’un groupe d’auto
assistance |
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seulement un petit chemin pour atteindre |
seulement un petit chemin pour atteindre |
un instituteur nous raconte le chemin parcouru depuis 1994 |
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ç
en cours de route nous voyons
que les puits sont presqu’à sec et ceci juste après la saison des pluies. Il
n’y aura pas de récolte de riz à cause du manque de pluie. |
Une autre
initiative est le cours qui est donné à 20 femmes. Il s’agit de jeunes femmes,
souvent illettrées, que l’école prend complètement en charge. Elles reçoivent
des cours de couture, de tissage, comment vendre leurs produits, l’horticulture,
l’hygiène dans la maison et les médicaments à base de plantes. Aussi on leur
apprend à lire et à écrire. Cette éducation leur prépare pour une vie ou elles
peuvent prendre soin d’elles même et de gagner encore un peu pour leurs
familles. En plus elles sont un exemple dans le village et d’autres femmes
essaient de faire les mêmes choses. A la fin des 2 années elles reçoivent une
machine à coudre moyennant une faible contribution. Pendant notre visite j’ai pu
donner à quelques femmes, en fin de parcours de 2 ans, leur machine à coudre.
Les femmes avaient, pour notre visite, préparé une exposition de leurs œuvres.
L’ensemble était accompagné, comme d’habitude, de chants et de danses.
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l’accueil par les femmes qui nous montrent fièrement leurs réalisations.
A la fin nous
avons donné des machines à coudre à quelques femmes qui avaient terminées
les cours |
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A la fin nous avons donné des machines à coudre à quelques femmes qui avaient terminées les cours |
hoe stellen we eenvoudig vast welke ziekte er zou kunnen zijn. |
de geneeskrachtige planten |
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de “kraamkliniek” van zuster Jocelyne met een “wieg” voor de pasgeborene |
2014
Ici la sœur
Jocelyne nous a montré les diverses activités qu’elle organise pour arriver à
une meilleure situation de santé de la population.
Une première
activité est d’organiser des réunions, par village pendant lesquelles elle donne
des informations sur l’hygiène. De chaque réunion elle fait une fête pour
atteindre un maximum de femmes : on y danse, on y chante, on rit et a la fin il
y a un repas (ainsi tout le monde a la possibilité d’une fois bien manger, car
beaucoup ne mangent que 3 ou 4 fois par semaine). Pendant la réunion elle
explique plusieurs règles d’hygiène : comment laver les petits enfants, comment
laver ses vêtements avec des produits de la forêt qui remplacent le savon,
comment ils doivent séparer les bêtes et les hommes dans leur maison, comment
nettoyer la maison. Qu’elles ne doivent préparer qu’un repas à la fois
(maintenant elles préparent, pour économiser du bois des repas pour 3, 4, ou 5
jours) pour éviter que la nourriture est déjà à moitié pourri quand ils mangent
la dernière parie, surtout avec la chaleur pendant l’été ou avec l’humidité
pendant la période des pluies. Elle y explique quelles plantes contiennent pas
mal de vitamines et qu’ils peuvent ajouter à leur riz. Comment mettre leurs
ustensiles hors d’atteinte des animaux. Qu’elles doivent bien nettoyer leurs
cuisine et la fermer pour que les bêtes ne peuvent pas y entrer.
La sœur essaye aussi de convaincre les parents de l’utilité
d’envoyer leurs enfants à l’école.
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En Inde le gouvernement donne une aide médicale, plus ou moins gratuite pour les
plus pauvres ( et la tribu des Koraku compte parmi les plus pauvres). Pour
pouvoir en bénéficier il faut se faire registrer dans un hôpital reconnu. Mais
pour des gens illettrés qui vivent dans la jungle à plus de 100 km d’un hôpital
reconnu n’est pas évident. Ils ne connaissent même ces droits. La sœur Jocelyne
les aide à se faire registrer et qu’ils reçoivent leur carte (comme une carte
bancaire) qui couvre jusque 5 membres de la famille. Avec cette carte l’hôpital
est gratuit jusque 30.000 RS. Les médicaments aussi sont gratuits pour autant
qu’ils sont fourni par un centre médical reconnu. Le dispensaire de la sœur est
un centre reconnu. Elle a reçu aussi une ambulance (un 4x4 pour pouvoir aller
dans la jungle) pour transporter malades ou blessés vers un docteur (+50 km) ou
à l’hôpital (+100 km) Les femmes ont une réunion toutes les trois semaines.
Elles sont informées de plusieurs symptômes de maladies. Dans chaque village li
y a une responsable qui doit surveiller qu’il n’y a personne qui montre
certaines symptômes de maladie.
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Dans un autre
village montre comment elle apprend aux femmes de faire certains médicaments a
base de plantes qu’elle trouve dans la jungle. Lors de notre visite elles
étaient en train de faire un médicament pour prévenir et soigner la malaria et
ceci à base 32 diverses plantes, branches, feuilles et racines. Naturellement
ensemble avec les médicaments elle apprend aussi d’autres mesures: l’emploi de
moustiquaires, éviter de l’eau stagnante… Les résultats sont visibles: lors de
ma visite d’il y a 2 ans il y avait pas mal de malades atteint de malaria
(première cause de décès dans la région) dans le dispensaire. Quand je demandais
à la sœur combien de malades il y avait maintenant elle me répondait fièrement
qu’ il y en a pas.
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Dans un troisième
village elle nous montrait une réunion de futures mamans. Elles se réunissent
régulièrement pour être instruites des point auxquelles elles doivent faire
attention. Comment se soigner elles même et leurs futurs bébés. Là ou elle a
déjà démarrée ces programmes, les décès de nouveaux nés a diminué
spectaculairement.
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Dans le
dispensaire il y avait le docteur qui vient toutes les 3 semaines. Elle est
l’épouse d’un fonctionnaire haut placé. Elle avait un bon poste en tant que
docteur dans une clinique officielle. Elle a donné sa démission pour pouvoir
aider plus les pauvres des tribus. Le jour de notre visite elle avait vue 35
futures mamans plus les malades et blessés habituels : donc une journée bien
remplie. Pour que tout se déroule bien les scouts de l’école (possible grâce au
soutien de scouts belges) enregistrent d’abord les malades et prépare aussi un
repas.
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Un autre cours est organisé par la sœur Jocelyne chaque deuxième dimanche du mois. Là elle (et ses assistants) donne un cours sur les symptômes de différentes maladies. Elle le fait d’une manière bien visuelle, pour que tout le monde peut comprendre. Après la réunion les mères reçoivent un paquet de nourriture riche en vitamines pour leurs enfants. A cette réunion les personnes âgées qui vivent seule sont aussi invitées. Régulièrement les enfants, après leurs études partent en ville pour chercher du travail. Ainsi plusieurs personnes âgées restent seul dans leur maison.
Après la réunion et la distribution, un repas est offert à
tous les participants.
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